•  

    On a retrouvé des dessins à des époques très reculées dans toutes les parties du monde, et représentant de manière non ambiguë des êtres et des engins que nous pourrons sans problème qualifier d'extra-terrestres. Il ne faut pas oublier que les artistes préhistoriques dessinaient ce qu'ils avaient l'habitude d'observer: peut-on en conclure qu'à une époque où la Terre était complètement sous-développée, l'activité extra-terrestre se faisait au grand jour? Possible!

    En tout cas, supposer que des extra-terrestres nous ont découvert subitement, il y a seulement 50 ans, c'est tout bonnement manquer de bon sens, étant donné que les civilisations extra-terrestres n'ont aucune raison de s'être développées en même temps que nous ni toutes à la même vitesse. Statistiquement, ils devraient nous avoir découverts il y a des dizaines de milliers d'années, voire des millions d'années, et d'autres devaient continuer de nous découvrir au cours des milliers d'années qui s'écoulèrent et continueront à nous découvrir.

    Il existe aussi des récits du moyen âge décrivant des boules lumineuses, des soucoupes et autres Ovnis, bien sûr en termes du moyen âge (mais à nouveau sans ambiguïté), ainsi que quelques gravures accompagnant ces récits. Certaines peintures sont aussi très éloquentes! Je crois que tout ceci est cohérent: les extra-terrestres nous visitent depuis des centaines de milliers d'années et continuent à le faire; et manifestement, ils ne sont pas belliqueux, sans quoi nous ne serions plus là depuis longtemps pour nous poser cette question.

    Peinture d'un ovni

    A l'époque où l'ancien testament a été écrit, on observait des "colonnes de nuées et de feu", et récemment, un témoin d'Ovni a vu le phénomène sous forme de colonne de feu. Il y a quelques années, un témoin a observé un Ovni de forme très bizarre qui n'avait pas été répertoriée et dont la forme particulière figurait très exactement parmi des gravures rupestres anciennes. Ceux qui pensent que les "soucoupes volantes" sont sorties droit de l'imagination de nos contemporains devraient s'intéresser un peu plus à ce type d'information.

    Peinture d'un Ovni

    Quant à ceux qui mettent en avant la très grande diversité des formes d'Ovnis pour en discréditer la réalité, ils feraient bien d'y repenser à deux fois. A mon avis, la technologie de déplacement des civilisations extra-terrestres est au point depuis des temps immémoriaux, et ils n'en changent plus les formes, mais par contre il existe tant de civilisations nous visitant, et tant de "modèles" d'engins volant par civilisation, que nous ne sommes pas près d'arriver au bout de nos peines (par analogie, il suffit de considérer tous les modèles de voiture existant sur Terre pour essayer de se donner une idée, et de multiplier par le nombre de civilisations extra-terrestres pouvant nous visiter).

    Un autre élément à ajouter est que certains Ovnis semblent pouvoir prendre la forme extérieure qu'ils veulent (peut-être des projections holographiques?) si ils le désirent, comme ces Ovnis qui essaient d'imiter les Sky-Tracers (la revue "Lumières dans la Nuit" en a beaucoup parlé). Jacques Vallée a lui aussi beaucoup étudié la question dans ses livres, et il a pu trouver trace d'"Ovnis" prenant la forme de dirigeables au 19ème siècle. Il semble que les technologies extra-terrestres soient diverses, et que leurs intentions sont de révéler doucement leur présence sans choquer. Pour quelle raison? Là aussi, il est possible d'obtenir quelques réponses.

     




     


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  • Me contacter : para_normal_web@yahoo.fr

    Qui sont les hommes en noirs ?

     

    Parmi les témoignages liés à l’ufologie, on ne recense pas que des observations d’ovnis. Il y a également de sinistres hommes en noir, les fameux "Men in Black" qui se manifestent un peu partout dans le monde. Ces apparitions sont plutôt déroutantes car les témoins décrivent des Cadillac démodées, des pantalons noirs bien repassés, le tout dans une ambiance digne des meilleurs films noirs américains.

    Description des hommes en noir

    Le visage est décrit comme « étranger » avec un vague air oriental. Leur peau est plutôt mat. Certaines ombres sur le visage sont étranges et ressemblent à du maquillage.
    Ils ne sourient jamais et sont plutôt inexpressifs. Même leurs mouvements sont raides. Leur attitude est froide sans être hostile.

    Certains se présentent en uniforme de l’US Air Force ou d’autres corps d’Etat et ils exhibent des cartes officielles. Les noms, après vérification, sont faux.

    Le contact s’avère être une mise en garde.

    Selon les témoins, les dialogues sont dans le pur style des films policiers américains des années 60. Le style est onctueux mais plein de menaces.

    La visite se termine toujours par une mise en garde, celle de ne rien révéler. Puis, ils disparaissent comme ils sont arrivés.

    Réalité ou Canular ?

    Quel serait le but de ces visites d’intimidation ? Existe-t-il un réel mystère autour de ces hommes en noir ou ne s’agit-il que d’affabulations ?

     

    Certains ont avancé l’hypothèse que ces hommes n’étaient pas « humains ». D’autres qu’il s’agirait d’une mise en scène des autorités pour intimider les témoins.

    Si des extraterrestres sont parmi nous, on ne peut pas dire qu’ils se montrent très discrets. Sans faire de mauvaise ironie, le mieux quand on ne veut pas se faire connaître, est de ne pas se montrer.

    S’il s’agit d’une mise en scène d’intimidation, on n’en voit pas très bien le but. Les observations d’ovnis sont devenus monnaie courante. En fait, je pense que même si on nous mettait une soucoupe volante sous le nez, on est devenu tellement sceptiques, qu’on spéculerait sûrement sur la réalité de l’apparition.

    Et puis, pourquoi des Cadillac démodées et des tenues tout droit sorties d’une série B qui restent immuables malgré le temps qui passe ? Des témoignages récents pourraient s’inspirer des déclarations plus anciennes. Par contre, les premiers témoignages, provenant de pays différents, étaient identiques. Ces gens là se sont-ils également inspirés des déclarations de Bunder ?

    Cette histoire est troublante du fait même qu’elle ne semble avoir aucun sens. Où peut-être ne faut-il y voir qu'une vaste mise en scène, dont l'instigateur est Bunder, dans un but purement financier.


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  • Bon pas grand chose à voir avec le ParaNormal, même si ! Et oui on a jamais retrouvé le meurtrier après tout !

    Jack l'éventreur (en anglais, Jack the Ripper) est le nom donné à un tueur en série anglais qui assassina sauvagement cinq femmes prostituées, issues de milieux pauvres, dans le quartier de Whitechapel, à Londres en 1888. Le mystère qui entoure l'identité et les mobiles du tueur a intrigué de nombreux enquêteurs et inspiré plusieurs auteurs.

    Les faits :
    Le premier assassinat confirmé est celui de Polly Nichols, retrouvée égorgée et éviscérée dans une cour d'immeuble le 31 août 1888. Le dernier - avec un degré d'horreur allant crescendo - date du 9 novembre de la même année.
    Image:Mary Ann 'Polly' Nichols.jpg
    Les victimes de Jack l'éventreur étaient des femmes devenues prostituées occasionnelles et oeuvrant dans l'un des quartiers les plus pauvres de Londres, à Whitechapel (East End). À l'exception de la dernière, âgée de 20 ans à peine, la plupart étaient des femmes d'âge mûr.

    Le nombre et la nature des victimes pose aujourd'hui encore une énigme aux enquêteurs : pour quelle raison choisit-il des prostituées ? pour quelle raison s'arrêta-t-il après le cinquième meurtre ? pourquoi ce dernier meurtre se déroula-t-il dans de telles conditions ?

    Mode opératoire :
    Les crimes eurent lieu pour la plupart dans des lieux publics ou semi-publics, trottoirs ou cours d'immeubles. La raison en est qu'à l'époque, les actes de prostitution n'avaient lieu ni à l'hôtel ni dans les appartements privés, mais pendant la nuit dans une cour d'immeuble ou dans un passage privé entre deux immeubles, voire même au boût d'une impasse.

    Les victimes étaient égorgées, vraisemblablement par-derrière ; l'éventreur ouvrait l'abdomen de la victime et en retirait les viscères (intestins, reins, utérus), pour les disposer ensuite sur le cadavre ou les emporter. La précision avec laquelle les victimes étaient éviscérées et le fait que les meurtres avaient lieu pendant la nuit, dans des lieux non éclairés, indiquent que le tueur avait des connaissances chirurgicales particulièrement avancées.

    Une de ses victimes, Elizabeth Stride, fut égorgée et violée, mais non éviscérée : les analystes estiment que Jack l'éventreur n'a probablement pas pu mener son acte à terme.

    La dernière victime, Mary Jane Kelly, eut droit en revanche à un traitement particulier. Probablement du fait qu'elle fut la seule à être tuée dans un endroit clos (le meurtre eut lieu dans son appartement, à Miller's Court), elle fut totalement éviscérée (ses organes furent éparpillés autour d'elle dans son appartement et son cœur ne fut jamais retrouvé) et quasiment démembrée.

    Cinq femmes sont aujourd'hui considérées comme les victimes confirmées de Jack l'Eventreur :

    Mary Ann Nichols :
    Née en 1845, mariée à William Nichols et mère de cinq enfants, elle était séparée de son mari depuis 1882. Elle fut tuée dans la nuit du 31 août 1888, à l'âge de 42 ans et incinérée dans le cimetière de Lford le 6 septembre 1888.

    Son corps fut retrouvé à 3 heures du matin dans Buck’s Row, la gorge tranchée, presque décapitée, les intestins enroulés autour du cou et l’abdomen entaillé ; ses organes génitaux étaient également gravement entaillés. L’autopsie révéla par ailleurs que l’assassin était un gaucher, fait qui sera plus tard démenti par de nombreux criminologistes.

    Les journaux de l’époque (quotidiennement remplis d’articles sur des femmes assassinées, mutilées ou brûlées vives) considérèrent ce cas comme « étrange », mettant ainsi le doigt sur la particularité du mode opérationnel du tueur.

    Annie Chapman :
    Née Eliza Anne Smith en 1841, mariée à John Chapman en 1869 et mère de deux filles, elle fut tuée le samedi 8 septembre 1888 au matin dans une cour intérieure de numéro 29 de Hanbury Street. Elle fut incinérée le 14 septembre 1888 a Manor Park.

    Son corps fut retrouvé gisant à terre, entre une porte et une palissade, la gorge tranchée et la tête presque séparée du corps. Le ventre était ouvert et les intestins déposés sur l’épaule droite de la victime, tandis que le vagin, l’utérus et les deux tiers de la vessie avaient été prélevés. À ses pieds, on découvrit quelques pièces de monnaie et une enveloppe en papier portant la date du 20 août.

    Un témoin, habitant de l’immeuble, affirma avoir entendu une femme crier « non » mais avoua ne pas avoir eu le courage de regarder par la fenêtre. Le lendemain, une petite fille informa la police qu’elle avait vu, quelques maisons plus loin, une flaque de sang : les policiers déclarèrent qu’il s’agissait probablement d’une trace laissée par le tueur alors qu'il emportait les organes prélevés sur la victime.

    Quelques jours plus tard, les policiers arrêtèrent un boucher juif du quartier, John Pizer, en se basant sur le fait qu'un morceau de tablier de cuir aurait été retrouvé sur les lieux du crime. Il fut toutefois rapidement établi que ce morceau de cuir n’avait aucun lien avec le crime : il appartenait à un locataire de l’immeuble, qui l’avait lavé et mis à sécher. Pizer fut cependant incarcéré pendant deux jours, afin de permettre à la police de le disculper aux yeux de la foule qui voulait le lyncher.

    À partir de ce moment, l’assassin fut qualifié de dément fanatique ou de maniaque sexuel sans aucune connaissance en anatomie. L’unique indice provenait de quelques témoins qui affirmèrent avoir vu les victimes discutant avec un homme portant une petite malette noire et un chapeau haut-de-forme.

    Elisabeth Stride :
    Née en 1843 en Suisse, mère de deux enfants et divorcée en 1856, elle fut retrouvée morte le 30 septembre 1888. Son corps fut découvert dans la cour du Club Berner par un certain Louis Diemschutz. Elle fut incinérée dans le cimetière Est de Londres.

    Son corps fut découvert dans la cour d’un immeuble abritant des juifs et des Allemands. Elle ne présentait qu’une profonde entaille à la gorge ; selon le témoignage d'un cocher, le sang en coulait encore lorsqu’il la découvrit.

    Catherine Eddowes :
    Née en 1842 à Wolverhampton, elle eut trois enfants de son compagnon Thomas Conway. Tuée le 30 septembre 1888, son corps, horriblement mutilé, fut retrouvé dans un parc public, Mitre Square.

    Catherine Eddowes fut soumise à un véritable martyre, probablement en raison du fait que Jack n’avait pu achever son travail sur Elisabeth Stride. Elle fut retrouvée gisant dans une mare de sang, le ventre ouvert. La victime était complètement défigurée, le nez et l’oreille gauche entaillés, la visage marqué d’un large V au couteau. Le corps était quasiment décapité, ouvert « comme un cochon à l’étalage », l’estomac et les intestins posés sur l’épaule droite, le foie coupé, les reins et les organes génitaux enlevés.

    Mary Jane Kelly :
    Née en 1863, elle fut assassinée le vendredi 9 novembre 1888 vers 3h00 du matin au 13 Miller's Court. Ses restes furent incinérés au cimetière catholique St Patrick, à Londres.

    Ce dernier meurtre dépassa tous les autres en horreur ; il suffit en effet de lire le rapport d'autopsie pour s'en convaincre : Le corps est allongé au milieu du lit, les épaules à plat, mais l'axe du corps est légèrement incliné vers le côté gauche, la tête tournée sur la joue gauche. Le bras gauche se trouve le long du corps, avec l'avant bras replié à angle droit et reposant en travers de l'abdomen. Le bras droit, quelque peu détaché du corps, se trouve sur le matelas, tandis que l'avant bras, posé sur l'abdomen, laisse apercevoir les doigts serrés. Les jambes sont largement écartées, la cuisse gauche formant un angle droit avec le tronc, tandis que la cuisse droite dessine un angle obtus avec le pubis. Toute la surface extérieure de l'abdomen et des cuisses a été arrachée, alors que les viscères ont été retirés de la cavité abdominale. Les seins sont coupés à leur base, les bras mutilés de nombreux coups de couteau irréguliers, et le visage est totalement méconnaissable. Les tissus du cou ont été sectionnés jusqu'à l'os. Les viscères ont été éparpillées un peu partout : l'utérus, les reins et un sein se trouvent sous la tête ; l'autre sein, près du pied droit ; le foie, entre les pieds ; les intestins, à la droite du corps ; la rate à la gauche du corps ; des lambeaux de chair de l'abdomen et des cuisses ont été empilés sur une table ; le cœur a été retiré et n'a pas été retrouvé.

    Autres victimes possibles :
    Plusieurs autres femmes furent agressées ou assassinées pendant la période où sévit Jack l'éventreur. Certains de ces crimes lui sont parfois attribués :

    Annie Millwood, née en 1850, victime d’une agression le 25 février 1888, entraînant son hospitalisation pour de nombreuses blessures dans les jambes et le corps. Elle quitta l’hôpital et décéda de mort naturelle, le 3 mars 1888.
    Ada Wilson, victime d’une agression survenue le 28 mars 1888, à laquelle elle survécut.
    Martha Tabram (née Martha White, également connue sous le nom de Emma Turner), née le 10 mai 1849 et assassinée le 7 août 1888. Son corps fut retrouvé lardé de 39 coups de couteau. Elle est considérée par certains comme une victime possible de Jack l’éventreur, compte tenu du lieu et de la date de sa mort. Ce cas présente toutefois un modus operandi fort différent des autres : ni égorgée ni dépecée, Martha Tabram fut seulement poignardée.
    Elizabeth Jackson, une prostituée dont le corps fut retrouvé morcelé dans la Tamise entre le 31 mai et le 25 juin 1889.

    La personnalité du tueur :
    Le surnom :
    Rien n'atteste que ce surnom provient du criminel lui-même. Ce surnom, retenu par l'Histoire, trouve son origine dans une lettre appelée Dear Boss, reçue le 27 septembre 1888 par la Central News Agency. Bien qu'elle ne soit pas authentifiée comme étant de la main du tueur, il existe néanmoins de bonnes raisons de penser qu'elle est de lui, car elle est signée Jack The Ripper.

    Le pseudonyme Jack the Ripper est resté du fait que Scotland Yard reproduisit cette lettre dans les journaux, espérant que quelqu'un reconnaîtrait l'écriture et permettrait ainsi d'identifier l'assassin.

    Notoriété :
    Comparé à d'autres tueurs en série, Jack l'éventreur n'a fait que peu de victimes. Plusieurs raisons peuvent expliquer sa notoriété. À l'époque des faits, déjà, ses crimes eurent un écho retentissant dans les médias. Son acharnement sur ses victimes était particulièrement impressionnant : elles étaient égorgées, décapitées ou éventrées. L'agilité de Jack l'éventreur a également contribué à sa célébrité.

    Plusieurs éléments ont permis à cet assassin d'entrer dans les annales du crime et dans la mémoire collective. Le plus remarquable est certainement l'utilisation des médias par l'éventreur lui-même, fait nouveau à l'époque. Sur plusieurs centaines de lettres reçues par les journaux, seules quelques-unes lui sont attribuées avec certitude ; ces lettres ont provoqué un effet boule de neige qui ont propulsé les méfaits du criminel à la une de l'actualité durant plusieurs mois. La passion populaire qui en a résulté a été entretenue par les échecs répétés de Scotland Yard.

    Un autre élément est le mystère qui continue, aujourd'hui encore, à entourer la personnalité de Jack : la Metropolitan Police n'a, en effet, jamais révélé l'identité du meurtrier, et il est fort probable qu'elle n'a jamais mis la main sur lui. Les spéculations, qui n'ont jamais cessé depuis le premier jour, continuent à susciter l'intérêt.

    Indices :
    Suite au double crime du 30 septembre, la police inspecta les lieux à la recherche d'indices ou de témoins. Vers 3h du matin, un inspecteur nommé Alfred Long découvrit un graffiti inscrit à la craie blanche sur un mur non loin du lieu où Catherine Eddowes avait été assassinée. Le texte en était : «The Juwes are the men That Will not be Blamed for nothing» (Les juifs ne seront pas blâmés pour rien). Afin de ne pas éveiller de mouvements anti-sémites, l’inscription fut immédiatement notée et effacée.

    Les ripperologues ont cependant relevé une curieuse corrélation entre la mauvaise orthographe du mot Juwes au lieu de Jews (juifs) et le nom de Jubelum, (apprenti d’Hiram) rencontré dans le livre saint des francs-maçons. Il en a été déduit que Jack l’Eventreur était soit franc-maçon, soit proche des francs-maçons …

    Théories et suspects :
    Trois suspects ont fait l'objet de livres et d'adaptations cinématographiques. Il s'agit du prince Albert Victor héritier de la couronne d'Angleterre, du médecin et chirurgien sir William Gull, et du peintre et artiste Walter Sickert.

    Patricia Cornwell dans son livre Jack l'éventreur, affaire classée défend la théorie (basée sur d'anciens échantillons d'ADN) selon laquelle Walter Sickert serait l'auteur de ces cinq meurtres. Ses œuvres seraient le reflet de ses crimes. L'argument de ce livre tourne cependant autour d'un faisceau de coïncidences n'ayant pas force de preuve. Elle démontre certes que Sickert est lié à une ou plusieurs lettres écrites au nom de l'éventreur, mais elle ne parvient pas à fournir la preuve irréfutable de sa culpabilité. Dans son Livre rouge de Jack l'éventreur, Stéphane Bourgoin tente de décrire objectivement les faits sans chercher à établir l'identité de Jack l'éventreur.
    Un certain Docteur Neill Cream, pour avoir déclaré « Je suis Jack » lors de sa pendaison, fut longtemps considéré comme le suspect numéro un, tout comme un mystérieux James Maybrick, qui se faisait passer pour Jack l'éventreur dans son journal intime.

    Dans From Hell, une bande dessinée d'Alan Moore, le coupable serait le médecin royal Sir William Gull, chirurgien de la famille royale. Si les motivations de ce praticien demeurent aujourd'hui sujettes à controverses (les prostituées auraient été témoins d'un mariage secret - non prouvé - entre le prince Albert d'Angleterre et une jeune roturière catholique ; Gull aurait alors reçu pour mission de les éliminer afin qu'elles ne puissent exercer de chantage sur la famille royale), sa candidature apparaît d'autant plus vraisemblable que les rapports d'autopsie insistent sur la qualité des éviscérations. Outre le fait que les meurtres furent commis de nuit, dans des lieux obscurs, un chirurgien pouvait avoir assez de connaissances anatomiques pour y procéder.


    Enfin, dans une lettre écrite en 1913 et découverte en 1993, J.G. Littlechild, inspecteur en chef de la police secrète de Londres en 1888, fit mention d'un certain Francis J. Tumblety. Ses soupçons sont basés sur le passé de charlatan de ce médecin aux États-Unis et sur des témoignages de ses proches affirmant qu'il vouait une haine démesurée aux femmes (il les qualifiait de bétail). Ce suspect fut arrêté le 19 novembre 1888, Scotland Yard le soupçonnant d'être lié aux meurtres des prostituées, puis relâché sous caution. Il s'enfuit finalement aux États-Unis ; plusieurs enquêteurs furent lancés à ses trousses, mais Tumblety parvint à disparaître mystérieusement en janvier 1889. Par la suite, on rapporta des assassinats étrangement semblables à ceux de l'éventreur dans le Far West, ainsi que six horribles meutres à Managua. Tumblety mourut à Saint Louis, le 28 mai 1903.

    Aucun fait avéré ne vient cependant confirmer ou infirmer ces théories.

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  • Les sciences en général ne reconnaissent pas l'existence des fantômes, faute de preuve convaincante, et ce malgré les tentatives de nombreux chercheurs en parapsychologie ou métapsychique. Ces derniers distinguent, d'une part, les apparitions d'ectoplasme, obtenues avec certains médiums spirites au début du XXe siècle (Eusépia Palladino, Douglas D. Home, Rudi Schneider, Franek Kluski) dont certains chercheurs sérieux (Charles Richet, Schrenk-Notzing, Gustave Geley, etc.) créditent la réalité des phénomènes dans les conditions d'observations de l'époque ; et, d'autre part, la hantise des fantômes, une sous-catégorie de hantise étant les poltergeists.

    Cependant les techniques modernes d'investigation scientifique (comme les caméras à infra-rouge) semblent avoir quelque peu décimé ces ectoplasmes du début du XXe siècle. Eusapia Palladino fut par exemple prise en flagrant délit de fraude en ayant recours à des trucages à plusieurs reprises au cours de sa carrière . Aujourd'hui la plupart des scientifiques qui s'intéressent à la question des apparitions sont très réservés quant à la réalité des phénomènes, sans pour autant nier la réalité psychique de l'apparition. L'étude desralysie du sommeil]], dont un chercheur canadien affirme que 25% des gens en expérimentent un, au moins une fois dans leur vie, peut également expliquer certaines visions.

    En parapsychologie, on attribue le plus souvent la présence d'un fantôme à la violence avec laquelle la mort du revenant est survenue. Cette explication ne se fonde sur aucun constat scientifique même si plusieurs cas restent inexpliqués après investigations. On compte dans de nombreux pays des cas excluant tout artifice ou supercherie, avec comme témoins des personnes dignes de foi et assermentées comme des membres du corps de gendarmerie ou de services de secours. Toutefois, le sérieux d'une personne ou son titre professionnel n'est en rien une preuve de l'exactitude d'un phénomène : hallucinations, rêves éveillés ou désir d'attirer l'attention sont présents dans toutes les couches de la population. De fortes présomptions mènent à penser que les fantômes proviennent de l'inconscient collectifs.

    En psychologie, et plus exactement dans le domaine de la psychogénéalogie, le fantôme désigne un élément psychique resté secret dans la psyché et qui se transmet dans les générations successives sous forme de maux, de maladies ou d'accidents. C'est Nicolas Abraham, psychanalyste hongrois, qui en a introduit le concept dans son ouvrage en collaboration avec Maria Török, L'Écorce et le Noyau.


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  • "Je pense que les Ovnis ont une réalité physique. Ils exposent une technologie fantastique, controlée par une forme de conscience inconnue. Mais je crois aussi qu’il serait dangereux d’en tirer des conclusions hâtives quant à leur origine, et leur nature, parce que le phénomène sert à véhiculer des images qui peuvent être manipulées pour promouvoir des systèmes de croyances qui auraient tendance à susciter la transformation à long terme de l’espèce humaine. "

    Un avis parmis tant d'autres ..


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